Adolphe Thiers (1797-1877), le premier Président de la troisième République française, s’est distingué par une moralité particulière. Il avait une maîtresse attitrée Eurydice dont il était très épris. Mais cette Eurydice avait une fille Elise et Thiers succomba aux charmes de la jeunesse. Ne quittant pas pour autant la mère, Adolphe décide d’épouser Elise mais il tombe ensuite amoureux de la sœur de celle-ci, Félicie. Qu’à cela ne tienne, il emménage sous un même toit avec la mère et les deux filles et pendant de nombreuses années, il vivra au milieu de ce harem familial que la presse de l’époque appelait les « trois moitiés de Thiers » !
Adolphe Thiers
Un autre Président français a également a défrayé la
chronique par ses frasques amoureuses. C’est Félix Faure, victime en
1899 d’une crise cardiaque dans les bras d’une de ses maîtresses en plein acte
d’amour et cela dans un salon de l’Elysée ! La presse écrira qu’il est
mort « d’avoir trop sacrifié à Vénus ».
Le Président Félix Faure et sa maîtresse Marguerite
Steinheil
« Rien de tel que les faiblesses des grands hommes
pour rassurer les petits » (Philippe Bouvard)
Autant savoir.
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